En fait on a du contexte : il s'agit d'une texte cité au début de “La société du spectacle”, extrait de la Préface à la deuxième édition de L'Essence du christianisme, de Feuerbach.
« Et sans doute notre temps… préfère l'image à la chose, la copie à l'original, la représentation à la réalité, l'apparence à l'être… Ce qui est sacré pour lui, ce n'est que l'illusion, mais ce qui est profane, c'est la vérité. Mieux, le sacré grandit à ses yeux à mesure que décroît la vérité et que l'illusion croît, si bien que le comble de l'illusion est aussi pour lui le comble du sacré. »
“notre temps” → l'époque contemporaine de l'auteur ? les philosophe classiques grecs ? aujourd'hui ?
“la copie à l'original” → Platon vs. Aristote
Feuerbarch → début du 19ème
l'image et la chose sensible
sacré → accessible à l'initié seulement, qui doit être protégé/ce qui est ritualisé, ce qui est divin/ce qu'on adore pour sa signification religieuse
Idée : comment un texte ancien peut être décontextualisé et appliqué de nos jours ?
Peut-on transposer la démarche du slow debug ? Et la dérive situationniste ?
Ça crée du lien.
Les mots sont des contraintes.
On lit très lentement le début de la “Société du spectacle” (les deux premiers articles).
Manu essaye de nous mettre sur la piste sans nous donner directement ses réponses.
c'était super.
à 3 c'était bien. Attention à la parole si on est plus nombreux.
Intimité avec le texte, similaire à celle du traducteur.
Dynamique similaire au slow debug (avec ou sans sachant)